Une analyse inédite de Greenpeace Suisse dévoile la présence de microplastique dans les déjections des mammifères sauvages suisses. Chevreuil, sanglier, chamois ou encore fouine, les échantillons analysés contiennent des microplastiques, parfois à des concentrations très élevées. La faune sauvage suisse n’échappe ainsi pas à la pollution généralisée des habitats par le plastique. Greenpeace demande aux autorités politiques de prendre des mesures fortes pour en limiter la mise en circulation.